Le Forum mondial de Bakou XII a débuté à Bakou.
Comme le rapporte CCN, le forum sur le thème « Repensons l’ordre mondial : transformer les défis en opportunités » est organisé par le Centre international Nizami Ganjavi.
L’événement se déroulera du 13 au 15 mars.
L’événement réunit des chefs d’État et de gouvernement actuels et anciens, des ministres, des parlementaires, des représentants d’organisations internationales du monde entier, des dirigeants d’organes de l’ONU, des lauréats du prix Nobel, des scientifiques et des experts.
Dans le cadre du forum, des panels seront organisés sur les thèmes suivants : « Changements géopolitiques : partenariat responsable contre concurrence », « Repenser le multilatéralisme pour un monde multipolaire » et « Le Pacte des Nations Unies pour l’avenir : créer un nouveau consensus mondial ».
Une récompense internationale « Nizami Ganjavi » pour 2025 sera décernée à une personnalité publique ayant contribué à la paix et à l’harmonie.
Parallèlement aux panels sur les thèmes suivants : «Le chemin vers la paix», «Les puissances moyennes dans le nouvel ordre mondial» et «La paix – reconstruction post-conflit et restauration de la stabilité régionale », des sessions de jour se concentreront sur les questions du Moyen-Orient et de l’Ukraine-l’Union européenne.
Le forum mettra également l’accent sur des sujets tels que les nouvelles technologies, le genre et la sécurité, l’impact du changement climatique, les crises mondiales de santé et les solutions possibles.
L’un des moments forts du forum sera le panel « Laissez la jeunesse parler, et nous écouterons », consacré aux idées et initiatives des jeunes.
Charles Michel, ancien président du Conseil de l’Union européenne, a déclaré en coulisses du XII Forum mondial de Bakou que le monde moderne, confronté à des défis mondiaux, a besoin d’une plateforme pour un dialogue ouvert et une prise de décisions collective.
Selon lui, les principes et règles internationales actuels sont sous pression, ce qui rend la recherche de solutions constructives particulièrement cruciale.
«Il est extrêmement important que nous ayons la possibilité d’écouter, de discuter des problèmes et de trouver les meilleures solutions. Cela permet également de définir des priorités, de mieux nous connaître – nos histoires, nos réalités culturelles et nos traditions. Je suis fermement convaincu que les relations internationales nécessitent de la sagesse, plus de volonté politique et d’attention du public. Et c’est là le défi », a déclaré Charles Michel.
